02/11/2015
Jour des morts.
Tous ces gens qu’on a connus, aimés, dont on croyait, enfant, qu’ils seraient toujours là, que rien ne changerait jamais, et dont on ne sait pas où ils sont, maintenant : l’incroyance est de la même nature que la croyance, c’est un paradoxe. Je garde l’idée que je les reverrai, tous, d’une façon ou d’une autre. C’est un peu comme espérer gagner à la loterie sans jamais y jouer.
16:18 Publié dans Blog | Lien permanent
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