29/09/2013
Moins une.
Il arrive qu’on arrive essoufflé au rendez-vous quotidien, in extremis, parce qu’on s’est laissé porter, d’abord, par la fragilité d’un ou deux poètes, parce que la vie émet elle-même l’ordre des priorités et parce qu’il n’y a de désir que s’il y a de secret(s). Fabienne Bergery et Frédérick Houdaer, au Cabaret Poétique, ce soir, auraient suffi à mon bonheur, mais, dirait-elle, on ne peut pas suffire à son bonheur sans être suffisant. Alors je me tais, je me recoiffe et je te l’offre, celle-ci, bougnat.
23:08 Publié dans Blog | Lien permanent
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