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24/11/2014

Filer à l'anglaise?

Je lis ici une anthologie de différentes façons de quitter une soirée, selon que l'on est Français, Anglais, donc, Irlandais pour les Américains, ou Hollandais, encore. Une étude qui me renvoie à un sujet d'étude, récent, appliqué au roman et, merveille de la mise en abyme, à l'interrogation permanente du bien-fondé de ce blog, après cinq années de notes quotidiennes: en fait, le blog devient doute quand l'édition se fait attendre. Après, il devient accompagnement de ce qui se passe autour du livre. Tout n'est jamais que cercle vicieux, dans ce domaine, de toute manière. On rejette un livre qui, paru ailleurs, fait l'objet d'éloges et d'interrogations: mais pourquoi ne pas l'avoir sorti autrement? Bref, j'approche, d'ici à quelques mois, des 1500 notes (en réalité plus, mais j'en ai enlevé au bout de la première année). Je souris en me disant que si tout va bien pour Aurélia à ce moment, le blog vivra de lui-même. Je souris mais la condition est émise, tout de même. J'aime les gens qui doutent, disait Anne Sylvestre. Je la comprends, mais c'est dur.

16:24 Publié dans Blog | Lien permanent