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25/08/2014

Dyscalculique.

Dans « 3X8 », qui s’annonce donc, il y a tout un tas de calculs destinés à perdre un peu l’auditeur ou le spectateur (le lecteur, lui, laissera son cerveau poser les multiplications ou les soustractions) et à renforcer l’effet comique. Un comique absurde. Il n’empêche, puisque c’est son rôle et que j’en ai déjà parlé, il a fallu les reprendre un par un, ces calculs, avec l’éditeur, les simplifier, les vérifier, puisque, si mon imaginaire est fertile, mes mathématiques sont souterraines. Ce qui l’accable, par ailleurs, plus encore que quand je confonds le blé ou le maïs dans « la partie de cache-cache », roman dans lequel, déjà, j’avais eu des problèmes avec les intervalles, pour calculer l’âge de l’invité-mystère. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’un jour, alors qu’il me fallait, en pleine préparation d’une paëlla, multiplier par deux et demi la dose de riz pour définir celle d’eau à verser dessus, j’ai appelé toute ma fratrie à ma rescousse et qu’à trois, affichant, chacun, un bagage universitaire conséquent, nous parvînmes à trois résultats différents. A part ça, je travaille.

15:16 Publié dans Blog | Lien permanent