Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/04/2014

Tripalium.

Jean Frémiot m’a présenté hier comme un écrivain qui, quand il fait une pause dans l’écriture de son roman, écrit une pièce de théâtre, puis deux, puis trois. Des pièces courtes, en huit scènes chacune, composées en gradation : un monologue pour la première (« A contre-emploi »), un dialogue pour la deuxième (« A pleines dents ») et un ménage à trois pour la troisième (« Panopticon »). Toutes traitent du milieu, du langage et de l’absurdité liés au monde du travail (au moment même où Chavassieux le quitte, l'heureux homme!), de l’entreprise et du rendement. Une veine comique-sociale, que j’ai forgée au cinéma de Ken Loach, entre autres, trois petites bombes d’absurdité que j’aurai plaisir à présenter, et à voir jouer sur scène, bientôt. Parce qu’il ne faut plus perdre de temps :

-       Oui, soit. Ne soyons pas trop radicaux non plus… Terminez, X. Qu’on en finisse. Vous me faites perdre un temps précieux.

-     Souvenez-vous, Monsieur le Président, que le temps perdu précieusement permet d’en gagner par la suite…

Si j'étais dans la pub, je dirais bien que je lirai quelques extraits de la deuxième pièce le 11 mai, mais pour le trancher net, la gent de Séguela n'est point du tout mon fait.

15:09 | Lien permanent